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Feuille de la Montagne
3 mars 2019

Le courage légendaire (et imaginaire) de Marie-Antoinette

 

Capture

 Marie-Antoinette fière et digne dans toutes les situations, ne craignant rien et ayant toujours fait preuve d'un courage incroyable? 

Cette vision n'est pas nouvelle elle a été exprimé par les royalistes dès les années qui ont suivies l'exécution de la reine déchue. Fortement propulsé par Chateaubriand puis diffusés aussi chez les auteurs et historiens plus progressistes à partir de la seconde partie du XIX siècle, de nos jours souvent avec une teinte de féminisme mal placé. 

Nous chercherons à établir si cette vision est vraie de la façon la plus objective possible. 

 Que cela soit claire il n'est pas ici question de la diaboliser d'avance parce que contre-révolutionnaire. 

Je n'ai aucun mal à admettre que des contre-révolutionnaires puissent avoir du courage en soit.

Le roi Jacques I d'Angletaire qui était un absolutiste convaincu était aussi un homme courageux, il faut l'avouer, et à été inflexible sur ses convictions et bien que sa cause était je pense abjecte, l'objectivité m'oblige à reconnaître qu'il a lutté et est mort avec courage. 

Et même en tant que Républicain, si je condamne l'obcurantisme des bandes armées contre-Révolutionnaires de Vendée, je ne puis considérer que les généraux de "l'armée catholique et royale" ait été des lâches, cela va sans dire. 

On peux avoir une mauvaise idéologie et être courageux, et on peux même être criminel et courageux. 

Cet article ne s'occupera donc pas en soit des crimes de Marie-Antoinette, mais de la réalité du courage qu'on lui prête. 

 

         Étudions donc les choses de manière chronologique: 

 

Août 1788:

Nous sommes avant la Révolution, Brienne ministre principal (premier ministre dirait on de nos jours) à démissionné, Marie-Antoinette écrit une lettre à Mercy lui exliquant qu'elle tenait à faire revenir Necker à sa place.

"Je crois que plus que jamais que le moment presse et qu'il est nécessaire qu'il accepte." Écrit Marie-Antoinette à Mercy dans une lettre du 24 août 1788. 

Pourtant le lendemain, le 25 août donc, dans une lettre au même elle écrit: " je ne saurais vous dire Monsieur combien cette journée m'affecte." Et après avoir expliqué qu'elle juge son action nécessaire par rapport à la situation elle écrit que : "je tremble, passez moi cette faiblesse, de ce que c'est moi qui le fais revenir". 

Ces lettres montrent pour commencer que déjà en 1788 Marie-Antoinette était prête à agir de sorte à éviter l'explosion qu'elle semble clairement craindre. Elle est ainsi elle même favorable à se qu'on appelle Necker qu'elle déteste pourtant depuis longtemps et dont elle garde un très mauvais souvenir (depuis son premier ministère). 

 

Octbre 1789:

 

Un épisode souvent reprit pour louer l'héroisme d'Antoinette est celui du matin du 6 octobre. Selon la vision royaliste elle a courageusement été protéger son époux lors de l'intruision des femmes du peuple au château.

Cette vision parfois mise en avant par certains historiens progressistes est tout simplement aberrante. 

Replaçons le contexte...Des femmes entrent dans le château, la garde est dépassé, les femmes semblant en avoir plus après Marie-Antoinette qu'après Louis XVI vont dans ses appartements et entrent dans la chambre de Marie-Antoinette qui dormait et qui a été contrainte de fuir...Elle a donc naturellement été aux appartements du roi, où les gardes se sont concentrés et on barricadés les lieux le temps des négociations avec la foule. 

Si le fait d'avoir rejoint le roi est du courage, qu'est ce qui ne l'aurait pas été? Rester sur place face aux femmes entrant aux chateau? 

Il n'est pas honteux ni spécialement lâche pour le coup de se mettre à l'abris dans cette situation mais rien là de spécialement courageux. 

L'idée qu'aller voir le roi fut un acte de courage est ancienne et a même pour origine Marie-Antoinette elle même, puisque c'est dans son procès qu'elle affirme ne pas avoir voulue abandonner son époux et avoir refuser des demande de laisser son mari pour s'assurer sa sécurité. 

En plus de tout ce que nous avons déjà dit, quand les lui a t'on faites? Avant l'arrivée des femmes, alors pourquoi la garde n'a pas été préparé si on savait ce qui allait se passer? Pendant? Comment ex-filtrer une personne en plein assaut, surtout si elle est la cible principale. 

Et puis s'il y avait une possibilité à un moment opportun pourquoi le roi n'aurait il pas été concerné par la proposition. 

Cette affirmation ressemble à une volonté de se donner de la dignité mais n'est factuellement pas très crédible.

 

 

La fuite à Varennes (juin 1791):

 

Au retour de la fuite de Varennes la Reine à chaque halte sortait toujours la dernière et en compagnie de son fis, on peut considérer que c'est du hasard ou non...

En revanche sa déposition deux jours après le retour, est clairement de la lâcheté, quand on sait par ses écris qu'elle était l'instigatrice de la fuite et qu'elle l'a souhaité depuis 1789 et que c'est elle qui avait convaincue son époux:

"Je déclare que, le roi désirant partir avec ses enfants, rien dans la nature n'eût pu m'empêcher de le suivre. J'ai assez prouvé depuis deux ans, dans plusieurs circonstances, que je ne le quitterais jamais; et j'ai été surtout déterminée à le suivre par la confiance et la persuasion que j'avais qu'il ne quitterait jamais le royaume. S'il eût voulu en sortir, toutes mes forces auraient été employées pour l'en empêcher.

La gouvernante de ma fille, malade depuis cinq semaines, n'a reçu des ordres que deux jours avant notre départ. Elle ignorait absolument sa destination. Elle n'a emporté avec elle aucune de ses hardes. J'ai été obligée de lui en prêter.

Les trois courriers n'ont pas su plus qu'elle leur destination. On leur donnait l'argent dans la route, et ils recevaient successivement nos ordres. Les deux femmes de chambre n'ont été averties qu'à l'instant du départ. L'une d'elles, qui a son mari dans le château , n'a pas pu le voir. Monsieur ne s'est séparé de nous et n'a pris la route de Mous que pour n'être pas embarrassé , et pour ne pas manquer de chevaux dans sa route. Nous sommes sortis par l'appartement de M. Villequier; et, pour ne pas être aperçus, nous le fîmes séparément, et à quelque distance les uns des autres."

 

Là elle use de lâcheté à trois égards, d'abbord elle ment en prétendant ne pas désirer sortir et ne faire que suivre son époux innocemment. 

Ensuite elle utilise sont époux pour se protéger. Elle ne serait qu'une femme obéissante voir soumise et n'ayant aucun projet politique. Hors ont sait que c'est faux, de tout temps sa correspondance prouve qu'elle était toujours au fait de la politique et avait toujours ses avis qu'elle tentait de faire valoir après de son époux...Comme la fuite. 

Enfin elle utilise l'arme suprême, non seulement elle n'a fait qu'obéir et ne pensait pas sortir de France, mais en plus "S'il eût voulu en sortir, toutes mes forces auraient été employées pour l'en empêcher" il ne faut pas oublier que le roi n'est pas encore rétablit. 

On l'oublit bien souvent mais au moment de la fuite la monarchie est suspendue....Louis XVI n'est pas revenu en tant que roi, il ne sera rétablit qu'au milieux du mois de juillet, et là, Antoinette fait sa déposition le 27 juin. Personne ne sait encore comment les choses ont tourner, elles auraient alors possiblement tournés comme en 1792 avec une abolition de la monarchie et un procès contre le roi. 

Dans le cas où la fuite est reproché, sa défense est déjà posé, et elle sera la même lors de son procès, mais du vivant de son époux, ont est il faut le dire dans l'ignoble. 

Et clairement dans de la lâcheté. 

 

Juin 1792:

 

Le 20 juin 1792 dévoila chez Marie-Antoinette la plus indigne lâcheté.  Le peuple envahit pacifiquement les Tuileries accompagnés d'officiels. Il vient faire des remontrances aux rois et demande à voir la Reine. Antoinette envoie alors sa belle-soeur Elisabeth à sa place et reste elle avec ses enfants. La supercherie est découverte puisque que certains ont déjà vue la reine, la foule cherche et trouve Marie-Antoinette qui va se réfugier derrière une table. 

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Et là l'inimaginable, elle met son enfant sur la table face à la foule. 

Pour certains auteur royaliste la reine aurait fait preuve de sang froid et aurait ainsi imposé le respect en rappelant que son fis était l"héritier de la couronne. 

Mais si véritablement elle trouvait la foule inquiétante n'est il pas indigne de placer son fis sur cette table? 

Le soir comme il était convenu le peuple quitta le château avec grande dignité et sans n'avoir usé d'aucune violence. 

La reine n'a eue que des remontrances.

Mais sans aucun doute nombre d'hommes et de femmes du peuple ont due se coucher se soir là choquer par la scène et avec la conviction renforcé que l'Autrichienne comme on disait n'était pour le moins pas une femme d'une grande valeur humaine.

 

Août 1792:

 

Chez Marie-Antoinette il y a deux personnalités, une qui déclame des phrases héroïques dans son châteaux, et l'autre qui face au danger s'assure de rester en sécurité. 

De phrase bravache elle en eue plus d'une et en bien des occasions, mais jamais sans doute ne fut elles aussi marquante qu'en août. 

Elle déclara qu'il était "temps de savoir des deux forces laquelle l'emporterait" rappelons que les Suisses étaient dans les sous sols du châteaux tout de même. 

Elle dit aussi à Madame Campan, dans des propos rapportés par cette dernière dans son livre "Mémoire sur vie privée de Marie-Antoinette":

"Pour moi, je pourrais bien agir et monter à cheval, s’il le fallait. Mais, si j’agissais, ce serait donner des armes aux ennemis du roi ; le cri contre l’Autrichienne, contre la domination d’une femme, serait général en France ; et d’ailleurs j’anéantirais le roi en me montrant. Une reine qui n’est pas régente doit, dans ces circonstances, rester dans l’inaction et se préparer à mourir." 

  La même raconte qu'elle pesta en voyant le roi faire sa revue au matin du 10 août "Il n'a montré aucune énergie". 

Il s'agit là d'une revue en vue d'organiser une lutte armée contre le peuple. 

Marie-antoinette s'exclamera "j'aimerais mieux être clouée au mur du château que de fuir". Mais quand on viendra dire au roi qu'il vaut mieux partir, elle se contenta de demandé si les forces militaires en protections n'étaient pas suffisante, on lui répondit que non puis sous la décision du roi et sans protestation d'Antoinette la famille royale partie pour l'Assemblée où elle trouva refuge. 

Avant de partir elle dit aux serviteurs ''nous reviendrons". 

Bref, que dire, on ne peux pas fondamentalement dire qu'il y a eue lâcheté puisque ce n'est pas elle qui a ordonnée de partir, mais on peux noter le décalage entre la femme forte et active dans le milieux privée qui devient soumise face au danger. 

 

Septembre 1793:

 

Après un peu moins d'un an de 'prison" dans un petit château Marie-Antoinette fut emmené à la conciergerie, prison plus commune ave une véritable cellule quoi qu'individuelle. C'est de là bas que fut tenté durant la nuit entre le 2 et 3 septembre une fuite...

Avec la complicité de gardiens véreux et d'agent contre-Révolutionnaire elle franchit guichet, et loge de gardien avant finalement qu'un gardien prit de remord refuse d'ouvrire une dernière grille....Alors va s'ensuivre une situation explosive ou gardiens contre contre-Révolutionnaires se font face armes à la main...Et là Marie-Antoinette demande elle même à ses complices de baisser les armes et retourne à sa cellule. Là, sont époux était mort, elle était seule et si la mort lui était préférable que la vie en prison elle avait une porte de sortie. 

Mais elle préféra la survie en prison que la mort en martyre. 

 

Le proçès:

 

Nous voici arrivé à son procès. 

On entend souvent qu'il fut faussé voir truqué, et expéditif, en réalité il fut assez long, sa première publication par exemple demanda pas moins de cent seize pages. Les débats furent fournies, les témoins nombreux, et certains furent à décharge, chose qu'on ne semble pas aimer dire beaucoup....Mais c'est la vérité. Enfin les quatre accusations sur lequel reposa la condamnation se sont avéré vrais, on le sait depuis formellement avec l'ouverture des archives de Viennes. 

Et ce n'était pas uniquement de l'intuition avant, c'était sur la base d'indices très forts, ce qu'on appel des indices "graves et concordants" et qui encore en droit actuel peuvent suffire à condamner, et ce alors que la technologie permet d'avoir bien plus de cas avec des preuves formel.

C e rappel fait il est intéressant de chercher à s'intéréssé à savoir quelle ligne de défense à chercher à prendre Marie-Antoinette durant son procès. 

Nous sommes là face à un dilemmes épineux, livrer un commentaire lapidaire sur sa ligne de défense sans aucun développement comme on le fait souvent et contester la version la plus entendue ainsi nous exposent à nous faire reprocher notre manque de source, d'un autre côté retracer tout le procès du debut à la fin phrase par phrase tout simplement à ne pas être lu et à perdre le fil  de l'article. Il s'agit donc de trouver le juste milieux et pardon pour la longueur malgrès tout. 

Retraçons un peu les grandes lignes du procès pour mieux pouvoir en juger.....

 

                   Le premier témoignage portes sur l'organisation de milices étrangères à Versailles en automne 1789 et l'orgie d'octobre ou il est reprocher à la reine d'avoir encouragé les troupes durant un banquet, il explique que la santé de la nation fut refusé (la levée de verres à la santé de la nation) que la cocarde tricolore fut piétiné ex... 

Le président demanda à l'accusée si elle avait des observations à faire (question qui sera récurrente et qu'on ne voit pas dans un proçès truqé ou les questions sont fermées) elle répond qu'elle a fait effectivement le tour de la table et donné deux drapeaux a des gardes avant de conclure "mais voilà tout". 

Puis le président demanda si elle était présente quand fut joué "O Richard, O mon roi" elle répondit "je ne m'en souviens pas" et si elle était là quand la santé de la nation fut rejeté "je ne crois pas", puis quand le président fait remarqués que les forces armées du banquet n'était certainement pas là pour rien elle répliqua "je n'ai rien à répondre. 

Sur le massacre des champs de Mars, le président prit habillement au piège Marie-Antoinette, lui demandant d'abbord si elle savait qu'il y avait des troupes aux champs de Mars, ce à quoi elle dit que oui en ajoutant "j'ignore absolument quel en était le motif", puis en lui demandant "ayant la confiance de votre époux vous ne devriez pas ignorer quelle en était la cause" ce à quoi elle répliqua "c'était pour la tranquillité publique". 

Plus tard quand le président lui demande si elle a vue des chevaliers du poignard elle répond " J'ai vue beaucoup de monde" 

Là il semble claire qu'elle ment, le jour même du massacre, elle ne serait pas au courant qu'il y a des chevaliers du poignard et ignore qui sont les gens du château...Elle joue à la femme indifférente à la politique mais on y reviendra...

Quand on lui demande si elle était à la fenêtre alors que le roi passe en revue les troupe elle répond que non...Affirmation qui en soit n'est pas accablante, mais dont la négation serait révélatrice d'une femme qui ne s'occupait pas des événements. Hors Madame de Campan, très proche de la reine écrira pourtant sur cette scène que Marie-Antoinette était bien à la fenêtre. 

Quand on lui demande si elle a vue Affry (meneurs des troupes contre le peuple) elle répond qu'elle ne le "croit pas".

Quand on lui demande sur Varennes pourquoi elle a quitté Paris elle a répondue "parce que le roi voulait s'en aller" niant une fois encore (après sa déposition de juin 1791) sa responsabilité. 

Lorsque le président lui demande de bien confirmé qu'elle n'avait pas son fis aux mains pendants le banquet des gardes du corps de 1789 elle répond "je n'ai pas dit cela, mais seulement que je ne croyais pas avoir entendue l'air O Richard O mon roi". Sauf que quand après une série d'accusation on dit n'avoir fait qu'un tour de table, ça signifie qu'on nie toutes les autres accusations non? 

Elle va nier avoir signer des bons, mais le tribunal lui fait savoir qu'il possède les bons en questions. 

Le témoin Latour Du Pin témoignera qu'Antoinette lui a demandé les plans des armées, quand le tribunal lui demande pourquoi elle évoqua la décision de l'Asemblée de faire des changements dans l'armée "je désirais savoir l'état des régiments qui seraient supprimes". Là encore on sait parfaitement qu'elle ment, puisqu'elle a utilisé e ses plans pour instruire les ennemis de la France des mouvements militaires. 

Mais pourquoi? 

Pourquoi mentir et nier ses actes, la transmission des plans aux ennemis si elle était dans l'esprit d'une martyre, si elle considérait ses agissement comme légitime et n'avait aucune considération dans la Révolution et n'avait pas peur de la mort? 

Pourquoi le faire sinon pour chercher à maximiser ses chances de rester en vie? 

Enfin lorsqu'on lui demande pourquoi elle n'a pas éduqué son fis selon les principes de la Révolution et lui a donner les égards d'un roi à la mort de son père en le plaçant en bout de table. Elle a répondue qu'il était trop jeune et donc qu'on ne pouvait pas lui parler de principe politique et qu'il fallait le servir donc le mettre en bout de table....Argument assez fallacieux dans les deux cas, n'aurait il pas été plus digne si elle était royaliste de coeur de l'affirmer franchement? 

Au finale on voit dans son procès qu'il se désigne une ligne de défense bien précise, ne sachant pas ce que la Convention avait en sa possession ou non elle va abondamment utiliser le conditionnel, elle ne se souviens, ne pense pas ex...Elle nie toute responsabilité mais aussi toute conviction contre-révolution ou du moins elle ne semble pas vouloir en faire démonstration. 

Chose que le tribunal à chercher à lui faire faire. 

Puis enfin sur la trahison et les bons, elle use ont le sait de mensonge...Elle devait fortement se douter que les trahisons n'étaient pas appuyés par des preuves à 100% formelles, c'est à dire par son courrier, puisque celui ci ayant était envoyé à la cour de Vienne il aurait fallut que la couronne d'Autriche elle même, alors en guerre contre la France collaborent avec la convention...

Mais pourquoi mentir si on est dans un esprit de martyre et qu'on ne croit pas dans son procès?

En fait c'est cohérent avec sa stratégie, se présenter comme passive et niant tout ce qui pourrait l'inculper...Donc chercher à sauver sa vie. 

Louis XVI ne fut pas Jacques I et il fut loin d'atteindre la dignité de Jacques I lors de son procès, notamment il nia toute conspiration contre la Révolution mais au moins revendiqua ses actions quoi qu'accusant lâchement les Révolutionnaire de ne pas avoir respectés. la constitution (qu'il violat et voulait voir disparaître selon ses lettres). Dans l'absolue il fut plutôt lâche, mais sa femme ira bien plus loin dans la lâcheté, elle niera en somme toute action ou même intention hostile à la Révolution. Et pourtant les lettres et témoignages sont multitude pour montrer qu'elle était plus radicale que lui.  

 

Conclusion:

 

Si Marie-Antoinette avait un attitude et des déclarations courageuses, dans la pratique quand le danger était réel elle a toujours choisit sa sécurité plutôt que la confrontation. 

En dépit de ses déclarations faite avec bravoure ses lettres témoignent d'une volonté d'agir en secret et ses dépositions aux autorité ont toujours témoigné d'une  volonté de se dédouaner de toute action contre la Révolution.  

 

 

 

Jean Blanchard

 

 

 

 

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